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Assortiment d'aliments.
Episode 11 / 24

Les compléments alimentaires en question

Alors que de plus en plus de personnes ont recours aux vitamines, antioxydants et minéraux, des chercheurs, auteurs de récentes études, émettent des réserves. Le point avec le Dr Vittorio Giusti, directeur du Centre métabolique à l’Hôpital intercantonal de la Broye (HIB).
Entre 35% et 40% de la population mondiale consomment des compléments alimentaires.
Entre 35% et 40% de la population mondiale consomment des compléments alimentaires. © iStock

Avaler des comprimés de vitamines pour lutter contre la fatigue ou des gélules pour renforcer des ongles cassants et des cheveux fragilisés: on a tous – ou presque – recouru un jour ou l’autre à des compléments alimentaires. Et nous ne sommes de loin pas les seuls. A l’échelle internationale, entre 35 et 40% de la population consomment des suppléments. «C’est beaucoup, estime le Dr Vittorio Giusti, maître d'enseignement et de recherche à l’UNIL et directeur du Centre métabolique à l’Hôpital intercantonal de la Broye, à Estavayer-le-Lac (FR). C’est un marché très important, qui englobe les produits dont les substances ne figurent pas dans la pharmacopée. C’est aussi un problème majeur: beaucoup d’entre eux peuvent être achetés en ligne ou en grandes surfaces, alors qu’aucune étude scientifique n’a pu attester leur efficacité avec certitude.»

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