![Assortiment d'aliments.](/media/image/1/normal_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 640w,/media/image/1/large_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 960w,/media/image/1/xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1440w,/media/image/1/2xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1920w)
Les compléments alimentaires en question
![La rédaction](/media/image/1/mini_1_1/01-generations-g-facebook-276px.jpg?94693daca76378f0408db9f07df93e5a 180w)
![Entre 35% et 40% de la population mondiale consomment des compléments alimentaires.](/media/image/1/xlarge_16_9/istock-1357662733.jpg?bdf2b6487ea68fa3dd2c78772dfdf9a3)
Avaler des comprimés de vitamines pour lutter contre la fatigue ou des gélules pour renforcer des ongles cassants et des cheveux fragilisés: on a tous – ou presque – recouru un jour ou l’autre à des compléments alimentaires. Et nous ne sommes de loin pas les seuls. A l’échelle internationale, entre 35 et 40% de la population consomment des suppléments. «C’est beaucoup, estime le Dr Vittorio Giusti, maître d'enseignement et de recherche à l’UNIL et directeur du Centre métabolique à l’Hôpital intercantonal de la Broye, à Estavayer-le-Lac (FR). C’est un marché très important, qui englobe les produits dont les substances ne figurent pas dans la pharmacopée. C’est aussi un problème majeur: beaucoup d’entre eux peuvent être achetés en ligne ou en grandes surfaces, alors qu’aucune étude scientifique n’a pu attester leur efficacité avec certitude.»
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