![Assortiment d'aliments.](/media/image/1/normal_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 640w,/media/image/1/large_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 960w,/media/image/1/xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1440w,/media/image/1/2xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1920w)
Le sel, un ami qui ne vous veut pas que du bien
![Marlyse Tschui](/media/image/1/mini_1_1/chroniquetschui1-5.jpg?b62aae055a81aa0b6327d7ca63e08330 180w)
![Le sel, un ami qui ne vous veut pas que du bien](/media/image/0/xlarge_16_9/sel-bienfaits-sante-danger-arnaques.jpg?cdf77ad8995e3e26c00b64e370dfd862)
En Suisse, l’appétence pour le sel est si inquiétante qu’elle est devenue un enjeu de santé publique. Alors que l’OMS recommande une consommation inférieure à 5 grammes par jour, elle est de 8 grammes chez les femmes et de 11 grammes chez les hommes. De telles quantités favorisent l’hypertension artérielle et le développement de maladies cardiovasculaires.
En réalité, 2 grammes par jour suffiraient à combler nos besoins. Si l’on s’en tient à l’apport quotidien acceptable de 4 grammes, cela représente l’équivalent d’une cuillère à café. Cette dose est relativement facile à maîtriser lorsqu’on cuisine des produits frais chez soi. L’exercice se complique quand on utilise des préparations salées ou des condiments achetés dans les magasins. Réduire sa consommation de sel, c’est possible et cela s’apprend. Grâce aux explications de Nicoletta Bianchi, diététicienne chef adjointe dans le Service d’endocrinologie, diabétologie et métabolisme du CHUV. Voici tout ce qu’il faut savoir...
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