![Assortiment d'aliments.](/media/image/1/normal_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 640w,/media/image/1/large_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 960w,/media/image/1/xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1440w,/media/image/1/2xlarge_16_9/istock-1155395326.jpg?13887e2d2965abb797089dcb4e8f1558 1920w)
Le sucre, éternel ennemi n° 1
![Marlyse Tschui](/media/image/1/mini_1_1/chroniquetschui1-5.jpg?b62aae055a81aa0b6327d7ca63e08330 180w)
![SUCRE : Il reste l’ennemi n° 1](/media/image/0/xlarge_16_9/istock-163258572.jpg?bda2ef7de923ead4e06f82d906b135a5)
Les femmes de plus de 50 ans se souviennent très bien des régimes successifs qu’on leur a conseillés pour perdre du poids: il y a eu d’abord l’interdiction de consommer des féculents, plus tard, la consigne de ne manger que des produits d’origine animale et, enfin, le haro sur les graisses qui a conduit à la fabrication d’innombrables produits allégés en gras. Mais on sait aujourd’hui que le principal responsable de l’obésité est le sucre. Entre 1850 et 2014, la consommation de sucre blanc en Suisse est passée de 3 à 39 kilos par habitant et par année. De nos jours, les sucres sont partout sur les rayons de nos supermarchés, dans les canettes de soda comme dans les pizzas. Nous en consommons 180 grammes par jour au lieu des 25 à 50 grammes que recommande l’OMS. Résultat : dans tous les pays industrialisés, le sucre fait des ravages. Explications avec...
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