Sarah Najjar, dessine-nous un Noël!
Deux ouvrages marquants, déjà, sur le chemin étoilé de la Genevoise Sarah Najjar: le premier, il y a 3 ans, Confessions confinées, un recueil de témoignages qu’elle illustre alors avec finesse, en empoignant le virus à pleines mains, mais, surtout, avec humour. Sa première BD, autoéditée.
Et il y a une année à peine, Un souffle à l’aube, une petite météorite descendue du ciel qui émerveille rapidement la Suisse romande: l’histoire d’Alma, une jeune femme que le suicide d’une amie fait tomber en dépression et qui, au fil du récit, renaît dans les couleurs d’une nature salvatrice. Bouffée d’espoir universel? Oui, mais, surtout, un roman graphique poétiquement ficelé, drolatique, intime, magnétique, denrée dont notre monde d’abrutissement et de travail — elle en est sûre — a furieusement besoin aujourd’hui.
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