
«JE SUIS VIEUX ET ALORS?» On adorerait vous dire que le graffiti qui barre la couverture du dernier générations — oui, celui que vous tenez dans vos mains — défigure le mur de l’une de nos jolies villes romandes. Mais, hélas, c’est faux: ce montage graphique est pure invention. Pourtant, on le sait, la question qu’il pose à la rue est légitime, tant elle est devenue cruciale: c’est celle de l’âgisme, cette méchante ségrégation qui s’exerce en raison de l’âge que certains et certaines atteignent. On se souvient tous du covid et du péremptoire restez chez vous» lancé à tous les vieux du pays. Un mot d’ordre brutal, encore ressenti par beaucoup comme discriminatoire.
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