Dans ses polars, Raphaël Guillet enquête sur le sens de la vie
Raphaël Guillet a vu le jour un vendredi 13 mars. À 65 ans tout juste sonnés, ce journaliste et écrivain a le sourire aux lèvres en évoquant sa date de naissance. De toute évidence, la malchance n’a pas été au rendez-vous de cet homme affable, curieux et sensible, qui vient de sortir son troisième polar aux Éditions Favre.
À l’heure de fêter son départ à la Radio Télévision Suisse (RTS), âge oblige, il balaie d’une pichenette le mot retraite: «Je déteste ce mot, qui rime avec défaite. Il y a une espèce de côté Napoléon qui bat en retraite.» Avec son esprit d’ado peinant à croire à son âge, il préfère le terme espagnol jubilado. Une connotation festive qui correspond à la conception que cet auteur de romans policiers a de l’existence. Ce qui ne l’empêche pas d’explorer les zones d’ombre de l’être humain à travers Alice Ginier...
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