![Il n'y a pas d'âge pour le désir, l'amour et une vie sexuelle épanouie.](/media/image/1/normal_16_9/istock-1275504441.jpg?c75b515c3a027060e2045f34f898c548 640w,/media/image/1/large_16_9/istock-1275504441.jpg?c75b515c3a027060e2045f34f898c548 960w,/media/image/1/xlarge_16_9/istock-1275504441.jpg?c75b515c3a027060e2045f34f898c548 1440w,/media/image/1/2xlarge_16_9/istock-1275504441.jpg?c75b515c3a027060e2045f34f898c548 1920w)
La sexualité féminine jamais atteinte par la limite d’âge
![Véronique Châtel](/media/image/1/mini_1_1/veronique-chatel.png?5f4082fc8e6346a03464c146f588b85b 180w)
![Jouissance : la sexualité féminine jamais atteinte par la limite d’âge](/media/image/0/xlarge_16_9/jouissance-sexualite-feminine-n-a-pas-d-age-0.jpg?b3addd973906805ffe6334d72fd65726)
Elle a été la goutte d’eau qui a fait déborder l’indignation de Catherine Grangeard : la déclaration d’un écrivain et chroniqueur français, Yann Moix, à propos des corps « plus extraordinaires » des femmes de plus 50 ans (comprendre ménopausées), qui les mettraient hors des jeux de l’amour et de la sexualité. Ça l’a convaincue qu’il fallait riposter. Dans son cabinet de psychanalyse se succèdent trop de femmes souffrant d’une mésestime d’elles-mêmes au prétexte qu’elles ne seraient plus « canon », et donc capables d’inspirer du désir. Trop de femmes ayant dépassé la soixantaine qui se résignent à l’abstinence sexuelle. A 63 ans, elle est bien placée pour affirmer que la retraite sexuelle n’existe pas. Alors, elle s’est attelée à un essai dont le titre résume son ambition : Il n’y a pas d’âge pour jouir. La psychanalyste y revisite toutes les idées reçues autour de la ménopause qui agit...
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