Contre le découragement, appliquons «la théorie du bourgeon»!

Les jonquilles qui pointent leur nez dans les prés vert tendre vous laissent indifférent. Le printemps arrive, c’est un fait et vous l’avez noté; bientôt, vous troquerez votre manteau d’hiver contre une veste de demi-saison, mais cela ne provoque en vous aucune émotion, trop concentré que vous êtes sur ce qui vous occupe au quotidien et envahit toutes les fibres de votre être. Les jours se suivent et se ressemblent. Vous les avalez les uns après les autres, en faisant de votre mieux, mais cela ne vous procure pas de joie.
À force, vous éprouvez même une forme de lassitude. La vie va-t-elle continuer à s’écouler ainsi? Sans vous sentir animé par un élan qui vous ferait prendre un chemin de traverse pour relancer votre curiosité, voire la poudre d’escampette pour quitter une route dont le tracé vous ennuie? Vous vous reconnaissez?
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