« Je me sens enfin en accord avec moi-même ! »
Qu’elle soit moins lisse que ce qui transparaissait de sa voix calme et posée lorsqu’elle présentait le JT du week-end de TF1 (de 1991 à 2015), on le savait. Son fils François, 22 ans, n’est-il pas le fruit de sa passion clandestine avec son confrère Patrick Poivre d’Arvor ? N’a-t-elle pas partagé, durant sept ans, sa vie avec un homme de vingt ans plus jeune qu’elle et beau (il était mannequin) ? N’empêche que son récit qui vient de paraître, Puisque que tout passe (Editions Grasset) adopte un ton de sincérité surprenant. Claire Chazal, 61 ans, évoque son anxiété congénitale, sa peur du temps qui passe, sa blessure à peine refermée d’avoir été évincée de TF1 après vingt-quatre ans de bons services, l’envol de son fils parti étudier à l’étranger qui la renvoie à sa solitude, le vieillissement, puis la mort de ses parents, ses amours passées. Elle se montre sous l’angle...
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