Martina Chyba: «J'ai testé pour vous... l'arrêt de l’épilation»
«J’ai une suggestion de la rédaction, mais je ne te dirai pas de qui ça vient.» Mon téléphone avec Blaise, le redchef de générations sent l’embrouille. «Vas-y balance, c’est quoi?» «Que tu arrêtes de t’épiler.»
Oui… parce que c’est la tendance. Touffe fout le camp. Je fais probablement partie de la première (et peut-être dernière) génération de femmes qui a passé sa vie à s’épiler. Jambes lisses, aisselles glabres, ticket de métro dans le slip, moustache éradiquée, sourcils domestiqués. Et pince à épiler dans le sac pour traquer le poil récalcitrant. Aujourd’hui, halte au patriarcat et aux diktats esthétiques! On croise désormais des couples mère-fille avec la maman toute lisse et catastrophée de voir sa progéniture en top sans soutien-gorge (autre sujet, mais que je ne testerai pas!) et en short, avec poils sous les bras et jambes hirsutes, totalement détendue. Bon, au niveau du test, au moins c’est facile...
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