La peau de phoque séduit à tout âge

A la fin du mois d’octobre, Francis Grandjean frétillait en voyant le Moléson se parer d’un manteau neigeux. « J’attendais cela depuis la fin d’août. J’ai déjà l’esprit dans la montagne hivernale. Cela fait des semaines que je prépare les sorties en peau de phoque de notre section du Club alpin suisse (CAS). J’adore aussi bien la montée que la descente. » A 55 ans, ce pilier de la section Gruyère affûte ainsi sa forme physique dès la fin de l’été. Et il conduira encore des groupes de randonneurs cet hiver — des skieurs de tous âges, sportifs, moyennement entraînés ou débutants.
« J’ai découvert la peau de phoque avec des amis de mon village en skiant sur les alpages », confie Francis Grandjean. Aujourd’hui, il apprécie partir vers 8 heures le matin quand le soleil se lève. « J’aime faire la trace dans une neige immaculée, méditer, contempler la montagne enneigée en compagnie de...
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