publicité
Opinion

A partir de 70 ans, on est tous des «tamaloù»!

Rosette Poletti, Chroniqueuse - mer. 01/02/2023 - 00:00
A cœur ouvert, la chronique de Rosette Poletti.
Chronique A cour ouvert Rosette Poletti Tamaloù
Pour Rosette Poletti, «il n’est jamais trop tôt pour commencer l’apprentissage de l’émerveillement».  © Sandra Culand

«C’est ce qu’affirmait un senior, récemment, lors d’un repas de fin d’année! C’est un fait pour de nombreux humains, il se produit une «usure», des dérèglements de cette merveille de complexité qu’est le corps humain. Cela se produit plus tôt ou plus tard, selon son héritage génétique et sa qualité de vie. Cependant, vieillir, c’est inévitable, être confronté à des limites qu’il faut accepter, apprendre à ralentir, c’est essentiel. Certains parlent du «loyer de la vie». Souffrir, vieillir, c’est encore être vivant. Malheureusement, pour certains, ces inconforts deviennent l’essentiel des préoccupations et, parfois, le seul sujet de conversation.

publicité

La suite est réservée à nos abonné·e·s

Découvrez nos offres d’abonnement

En lecture
A partir de 70 ans, on est tous des «tamaloù»!
publicité