Succession et impôts : lorsque l’un des parents meurt…
Lorsqu’un des parents meurt, il arrive que la famille décide de ne rien faire et de reporter le partage de la succession au jour du décès du second parent. L’objectif est de laisser au conjoint survivant la totalité de l’héritage, et de ne partager le solde des biens, entre les enfants, qu’après la disparition du second parent. Ils n’entreprennent aucune démarche, pensant bien faire… Erreur !
Il vaudrait mieux prévenir… que subir !
Au premier décès, du père ou de la mère, sa succession s’ouvre. Le défunt laisse des héritiers, ceux qu’il a désignés par des dispositions testamentaires ou — s’il n’en a pas prises — ceux désignés par les règles légales. Si l’on prend l’exemple d’un couple marié, résidant à Lausanne, avec trois enfants, tous domiciliés à Lausanne : au décès du père qui, par hypothèse, n’avait pas rédigé de testament, ses héritiers seront sa veuve pour une part...
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