Sitting Bull, un vrai chef
«Lorsque le dernier ruisseau sera pollué, le dernier animal chassé et le dernier arbre coupé, l’homme blanc comprendra que l’argent ne se mange pas.» Cette citation illustre à merveille l’immense sagesse du grand chef amérindien Sitting Bull (Taureau Assis), plus connu pourtant pour ses actes de bravoure. Pensez, l’homme qui a infligé la plus humiliante défaite des Tuniques bleus à Little Bighorn, le 25 juin 1876. Lui, le chef sioux qui a eu raison du général Custer. Mais on l’a dit, l’homme était aussi respecté par son peuple pour qui il était sacré. Contrairement à beaucoup d’autres, il a d’ailleurs toujours refusé de signer un traité avec les blancs, sachant qu’un bout de papier ne valait rien face à la cupidité.
Il vaut donc la peine de s’intéresser à ce grand nom de la culture amérindienne à qui d’innombrables livres ont déjà été consacrés, le dernier en date étant une...
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