Un polar survolté
En quatre ans seulement et trois romans, Nicolas Beuglet a déjà vendu plus de 800 000 exemplaires. Autant dire que l’écrivain français est gonflé à bloc. Et cela se ressent dans son nouveau né, Le dernier message, un polar survitaminé et surprenant à plus d’un titre. On y suit son enquêtrice écossaise, Grace Campbell, qui a retrouvé sa taille, et veut sortir du placard «aimablement» fourni par ses supérieurs. Ça tombe bien, un cadavre vient d’être retrouvé dans un monastère perdu sur une petite île. Va-t-on vers un huis clos? Du tout, après un premier rebondissement, on se retrouve dans des caches secrètes remplies de cercueils vides. Et notre héroïne de s’attaquer alors à une mystérieuse organisation criminelle, en compagnie d’un agent secret américain, au Groenland!
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Bref, de l’action, il y en...
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