Les bibliothèques prêtent aussi des liseuses
Les mots ont un poids! Au sens figuré comme au sens propre. On s’en rend rapidement compte en sortant de la bibliothèque avec un sac rempli de livres. Mais, depuis l’an dernier, la plupart de ces temples du livre jouent la carte de la légèreté grâce au numérique. Si les liseuses, les tablettes et autres smartphones ne sont pas encore prêts à nous faire tourner la page du livre papier, l’engouement pour l’e-book est tangible.
«Nous proposons des e-lectures depuis 15 mois, et avons déjà enregistré plus de 15 000 prêts. Cela prouve qu’il y a une demande, qui devrait augmenter à l’avenir », explique Rachel Vez, responsable de communication à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, dont les 13 liseuses en prêt ont littéralement été prises d’assaut, nécessitant la mise en place d’une liste d’attente.
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