Immobilier: faut-il privilégier les investissements directs ou indirects ?
Au cours de la dernière décennie, le segment de l’immobilier a été porté par le contexte favorable d’après crise financière de 2008, marqué par la baisse des taux d’intérêts et des rendements obligataires. Dans cet environnement, l’immobilier de rendement présente des avantages considérables : rendements supérieurs à ceux du marché obligataire, revenus stables, risques modérés et couverture contre l’inflation.
Dans le portefeuille des institutionnels suisses, qui investissent sur le long terme et qui ont longuement réfléchi à leur allocation d’actifs, l’immobilier représente entre 13 % et 19 % des actifs. La volatilité des prix inférieure et la corrélation faible de l’immobilier avec les marchés d’actions concourent de manière décisive à la diversification d’un portefeuille. Cette proportion reste indicative et s’adapte pour des clients privés à leur profil d’investisseur et à leur fortune.
L’attrait de la pierre
Il est possible d’accéder au segment immobilier de deux manières bien distinctes: soit...
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