Un ours à la maison
Le ton est donné dès la lecture du titre: De la nécessité d’avoir un ours chez soi. Eh oui, Jules a un plantigrade chez lui. Et pas n’importe lequel. La bestiole est craintive, incapable de subvenir à ses besoins dans la nature, aime la confiture plutôt que le miel et se met même à fumer cigarette sur cigarette. Une peluche vivante à la maison? Le psy de Jules traduit cela par un méchant trouble de la personnalité, le concierge de l’immeuble veut rajouter sa tête à son mur des trophées. Tombée amoureuse de cet écrivain solitaire, Alice veut quant à elle se débarrasser d'Ernest, ce colocataire de poids.
Ce résumé confirme une lecture un peu frappadingue, mais qu’est-ce qu’on aimerait bien avoir nous aussi un copain poilu à la maison. On le redit, vraiment une jolie histoire et ce n’est pas pour les enfants, mais bel et bien pour tous...
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