Quand WhatsApp sème la zizanie dans la famille
Cette fois-ci, c’en est trop! «Je n’en peux plus de cette pression. Je m’en vais.» L’auteur de ce message est Thomas D’Ozario, un Américain vivant en Pennsylvanie. Ras-le-bol d’être sollicité en permanence: ce père de famille de 51 ans a donc pris la décision de se retirer du groupe familial sur la messagerie WhatsApp. Selon FranceInfo, l’extrait de la conversation, publié par sa fille sur le réseau social Twitter, a cumulé plus de 15 millions de vues, un gros buzz mondial! Et, pourtant, cette situation n’est pas un cas isolé. Si certains diront que c’est un acte de courage de se libérer de l’entrave numérique, d’autres y verront un signe de lâcheté ou, pire, une forme de désintérêt pour ses proches. Pour Olivier Glassey, sociologue spécialiste des usages du numérique (Université de Lausanne): «Entrer et sortir d’un groupe familial, ce n’est pas juste un acte technique, mais aussi un acte...
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