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Culture

La démence vue par Shakespeare est contagieuse

- jeu. 01/11/2018 - 00:00
La folie Lear s’inspire largement d’une des plus célèbres pièces du dramaturge anglais, mais aussi d’œuvres plus contemporaines. Bientôt à la Comédie de Genève.
La démence vue par Shakespeare est contagieuse
 Le génial dramaturge anglais William Shakespeare inspire toujours des auteurs, quatre siècles plus tard. © Wynnter

Promis, juré, dit Christian Geffroy Schlittler : pas besoin d’être un lecteur averti de Shakespeare pour venir voir la pièce qu’il met en scène prochainement à la Comédie de Genève. Certes, La folie Lear — écrite par Serge Martin qui en est également l’acteur principal — se base, en partie, sur la célèbre pièce du dramaturge anglais, mais pas seulement. Deux autres œuvres plus contemporaines servent de pierres angulaires à cette création : Minetti de Thomas Bernhard et Roi Lear de Rodrigo García.
Concrètement, la pièce met donc en avant un acteur « assez âgé » qui vient sur scène raconter son envie de monter un spectacle, basé sur ces trois grands textes. Il en lit même des extraits au public et continue de raconter son projet jusqu’au moment où il se fait contaminer lui aussi par la folie de Lear. Mais, comme dans la pièce de William Shakespeare, la démence fonctionne, ici, comme...

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