Feuilleton: Nos séries chéries
Tout est dit dans le titre: Happy days. Conçus en 1971, diffusés depuis 1974, ces «Jours heureux» nous renvoient aux années 50, dans une paisible famille américaine vivant à Milwaukee au son du rock’n’roll. Une époque bénie où l’économie va bien. Ce n’est pas un hasard d’ailleurs si le créateur de la série campe son décor à ce moment-là. C’est que, au début des années 1970, le pays a plutôt le moral dans les chaussettes avec la guerre du Vietnam. Une bonne dose d’optimisme ne ferait pas de mal. Mais revenons à cette famille, qui comprend un père rondouillard (Howard) et sa femme Marion Cunningham, qui élèvent le rouquin Richie, et sa petite sœur Joannie. Autour d’eux gravitent les meilleurs potes du fils dont… Fonzie, blouson noir, motard, qui incarne la coolitude puissance 1000. Il était prévu que Richie, et ses premiers émois amoureux, soit le héros de la série qui comptera...
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