«Il n’y a pas d’âge pour faire du stop!»
Jules Riss, 26 ans, n’hésite jamais à tendre le pouce. «Je fais du stop très souvent, par exemple pour rentrer de soirée et même pour des petits trajets», explique cet originaire de Metz, en Lorraine. Une pratique qui ne manquait pas d’inquiéter sa grand-mère de 89 ans, Thérèse, qui lui disait souvent: «Fais attention à toi, tu peux tomber sur des personnes dangereuses!»
Un ton alarmiste plus du tout au goût du jour, depuis que le petit-fils a convaincu la grand-mère de partager son expérience d’auto-stoppeur. En juin dernier, profitant du week-end de la Pentecôte, Jules et sa mamie ont entamé un périple qu’ils ne sont pas près d’oublier: «Nous sommes partis de chez ma grand-mère, à Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique) en visant Concarneau dans le Finistère.» Soit, un aller-retour de 480 kilomètres en deux jours. Tout ça en stop, bien entendu, à tendre le pouce le long des nationales et des départementales.
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