Sans lui, aurions-nous regretté de ne pas avoir de frère, de ne pas s’appeler Psylvia, de ne pas savoir s’accompagner à la guitare pour chanter « Ce soir à la brume, nous irons ma brune cueillir des serments » ? Le premier album de Maxime Le Forestier — Mon frère — sorti en 1972 et vendu à plus d’un million d’exemplaires a inspiré toute une génération. Depuis, le chanteur a composé quinze autres albums et bien d’autres chansons indélébiles comme Né quelque part, Passer ma route, Restons amants ou la toute récente Les filles amoureuses qui ont conquis de nouveaux publics. Sans perdre celui du début, car Le Forestier est resté fidèle à lui-même, à ses valeurs et même à son sourire à fossettes.
Que chanterez-vous à Montreux ?
Je tourne avec cinq musiciens, trois guitaristes, dont mon fils Arthur Le Forestier, un percussionniste, un contrebassiste, et tout le monde chante. Je vais interpréter les dix chansons de mon...
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