«La lettre d'Emile Zola à mon arrière-grand-père»
Des bâtiments agricoles sur une colline au bord de la mer, au-dessus d’une forêt de pins, des blés flamboyants et un ciel bleu. C’est dans cette ferme familiale d’une wilaya (région) maritime de la côte algérienne, saisie à l’aquarelle à la toute fin du XIXe siècle par son arrière-grand-père Walter Naef, propriétaire des lieux, que Jean-Philippe Naef a vu le jour en 1951. Si cet ancien du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui vit aujourd’hui à Genève, n’a bien entendu pas connu son aïeul, un bijoutier genevois né en 1858, il en a appris beaucoup sur lui en découvrant, tardivement, une collection de ses œuvres picturales et sa correspondance avec l’écrivain Émile Zola.
«Il y a quelque temps de cela, je suis allé récupérer un grand nombre d’objets de famille chez mon cousin dans le sud de la France. Dans un tas de vieux papiers, je suis tombé...
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