Derib: «C’est ça! Je suis un beau-grand-père!»
Père de trois (grands) enfants, papa de Yakari, figure tutélaire de la bande dessinée suisse, Derib n’a pas de petits-enfants à proprement parler. À bientôt 80 ans, le 8 août prochain, Claude de Ribaupierre, de son vrai nom, n’en est pas moins, à l’occasion, une figure grand-paternelle avec les trois enfants de la compagne de son fils, Arnaud.
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Derib, vous dites être un «faux grand-père». Expliquez-nous.
C’est ça! (Rires.) On pourrait dire plutôt un «beau-grand-père», de la même façon que l’on parle de beau-fils ou de beaux-parents. Cela s’explique par le fait que mon fils Arnaud est marié avec une femme qui a eu trois enfants avant de le rencontrer.
Vous avez quand-même un rapport de grand-père avec ces trois enfants?
Oui, quand ils viennent à la maison. Surtout avec Swan, 10 ans, le petit, à qui j’ai offert Poulain mon ami et qui aime bien rigoler et jouer avec moi. Tous les trois ont d’ailleurs lu mes BD. J’ai un peu moins de contact avec les filles, il est vrai plus proches de mon épouse.
Qu’est-ce qui change quand on n’est pas vraiment grand-parent?
La relation est différente. Ce n’est pas comme si j’étais un grand-père qui va en visite chez ses petits-enfants et qui y passe...
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