«Toute la famille a appris à faire avec le handicap d'Elise!»
«Pendant 2 ans et demi, nous n’avons pas soupçonné que notre benjamine, Elise, était différente. Elle parlait peu, mais sa sœur, Maude, de presque deux ans de plus qu’elle, n’avait-elle pas elle-même parlé tardivement?» C’est Ann, la mère, qui raconte. Frédéric, le père et Maude, l’aînée, prendront tour à tour la parole pour compléter le récit du parcours d’Elise.
«Le pédopsychiatre que nous avons consulté lorsqu’elle avait trois ans, nous a rassurés en affirmant que notre fille sortirait de son monde lorsqu’elle en aurait envie.» L’entrée au jardin d’enfants vient confirmer que quelque chose cloche. D’autant plus que Elise ne parvient pas à se passer de couches. Un rendez-vous est pris avec le Service universitaire de psychiatrie pour enfants et adolescents au CHUV à Lausanne. Après plusieurs tests et bilans, un diagnostic vient enfin mettre un nom sur les troubles de la fillette qui a alors 4 ans. «Cela a...
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