Quatre émotions de proche aidant difficiles à gérer
Cela fait partie du vécu de la plupart des aidants au long cours: éprouver de la fatigue et du ras le bol et se culpabiliser d’en éprouver! Pire: se sentir défaillant, en comparaison d’autres aidants paraissant plus sereins auprès de leur proche en perte d’autonomie. Il n’y a rien de plus toxique pour l’équilibre psychique que s’enfermer dans cet engrenage d’éprouvés négatifs. Pour s’en libérer, il faut en parler. Notamment dans les espaces de paroles destinés aux aidants. Il en existe de deux types. Il y a ceux qui se déroulent autour d’un café, dans un libre échange ouvert et informel animé par un travailleur social. Il y a ceux qui sont encadrés par un psychologue et ont pour ambition de permettre aux aidants d’amorcer un travail sur eux-mêmes. «Dans les deux cas, le collectif permet au proche aidant de réaliser qu’il n’est pas seul à vivre des situations difficiles...
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