Mes premiers pas de proche aidant
C’est souvent par les autres qu’ils découvrent qu’ils ont changé de statut. Quand, après avoir égrainé tout ce qu’ils font pour soutenir leur conjoint malade, parent en perte d’autonomie ou enfant handicapé, ces époux, filles ou mères s’entendent qualifier de proches aidants. Ce qui parfois les choque. «Proche aidant, moi? Pas du tout! Quoi de plus naturel que de soutenir ceux qu’on aime?» Il arrive cependant que l’amour ne soit plus un moteur suffisant pour apporter une aide au long cours et qu’un sentiment de fatigue, de découragement et même de l’agacement surgissent. Avec en arrière-plan de la culpabilité d’éprouver tout cela. Voilà le piège qui attend cet aidant qui s’ignore!
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