Martina Chyba: «J'ai testé pour vous... le botox»
Il faut dire les choses comme elles sont: le début de l’année a été… merdique. Très. A force de serrer les dents, les coudes, les fesses et de ne pas dormir, on se retrouve, un matin, avec une tête de panda froissé (à cause des cernes) et on se dit deux choses. «Petit a) ce n’est plus possible. Petit b) il faut agir.» Et c’est ainsi que l’on prend rendez-vous pour une injection de botox, avec la bénédiction de l’équipe du magazine générations qui se dit: «Héhé, mais qu’elle essaie, si elle ressemble à Michael Jackson ou aux Bogdanoff, ce ne sera pas de notre faute» et on saura qu’il ne faut pas le faire sur nous.
J’ai toujours été détendue par rapport à la médecine. Les médicaments et traitements sont un pacte faustien, une balance résultat-risques: j’accepte les éventuels dangers ou effets secondaires, si les bénéfices que je peux en retirer...
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