«Les bénévoles parviennent à donner du sens au temps qui reste au proche aidé»
A l’enterrement de Lise-Marie, décédée après plusieurs mois de longue maladie, il y avait une femme que seul son mari connaissait: la bénévole qui était venue lui rendre visite à son domicile et avec qui elle avait noué une relation singulière. Tandis que Lise-Marie partageait ses angoisses ou se lançait dans une partie de Scrabble, son époux partait s’aérer. «C’est généralement pour cet objectif, trouver du répit, que les proches aidants font appel à nos bénévoles», explique Laurence Chapuis, responsable de l’Accompagnement de fin de vie à Caritas Neuchâtel. «La régularité de l’accompagnement qui est mis en place leur permet de prévoir des sorties et de se projeter dans du temps pour eux.»
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter