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Episode 5 / 13

Le poids des émotions sur nos souvenirs

L’état émotionnel dans lequel nous nous trouvons au moment où nous vivons un événement ou apprenons un fait nouveau joue un rôle considérable dans ce qu’il nous en restera.
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Pourquoi se souvient-on mieux des tragédies que des moments de joie? © iStock

Etat d’euphorie, de déprime, de frayeur, de colère sourde: dans leur gamme infinie de nuances, nos émotions ont le pouvoir d’anéantir ou de décupler nos souvenirs. Mais un fait demeure troublant: les émotions dites «négatives» (comme la peur, le dégoût, la tristesse) semblent avoir un impact plus important sur la vigueur de nos souvenirs que leurs pendants positifs (joie, surprise).

Pour preuve, nous nous souvenons, pour la plupart d’entre nous, de l’endroit où nous nous trouvions lors des attentats contre les Tours du World Trade Center à New York le 11 septembre 2001, de ceux de Paris le 13 novembre 2015, ou, plus récemment, de la fermeture des restaurants et des écoles pour cause de Covid-19 le 16 mars 2020... des dates liées à des «tragédies». Beaucoup moins de souvenirs subsistent, a priori, des journées que nous vivions alors que venait au monde à quelques milliers de kilomètres...

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