Bach, encore et toujours. L’alpha et l’omega de la musique. «La musique de Bach est la seule preuve tangible de l’existence de Dieu», disait le philosophe et écrivain Emil Cioran. «Bach, c’est Bach, comme Dieu, c’est Dieu», disait Berlioz. Inépuisable source de bonheur à laquelle, chaque mois de novembre, le Festival Bach de Lausanne vient puiser. Animée par l’organiste Kei Koïto, cette manifestation n’a cessé de s’imposer au fil des années comme un rendez-vous majeur, reconnu comme tel à l’échelle internationale. Les musiciens viennent de partout — même du Japon, l’an dernier. Ce sont tous, à un titre ou à un autre, des références dans l’interprétation des œuvres du Kantor, en général adeptes des instruments et du style d’exécution d’époque.
Un thème est chaque fois choisi pour sélectionner les œuvres — il y en a tant, de tous les styles, profane, religieux, vocal, instrumental, pour solistes ou ensembles. L’édition...
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