Paul McCartney, un gars bien
Qui n’a pas chanté à tue-tête, fredonné sous sa douche ou dansé tendrement avec sa petite amie sur ce tube intemporel et planétaire? Pourtant – le saviez-vous? –, Hey Jude devait initialement s’intituler Hey Jules (Eh Jules, en français), en hommage au fils de John Lennon, Julian. C’est une des multiples anecdotes que l’on découvre au fil des pages de l’autobiographie de Paul McCartney. Un ouvrage qui ressemble au bonhomme, sans règlement de comptes, mais où ce génial musicien, né en 1942, redit son amitié pour son complice parti trop tôt, assassiné par un dément devant son immeuble new-yorkais. Une amitié avec des hauts et des bas, évidemment: «Il y a eu, bien sûr, des disputes, mais jamais rien de violent.»
Au fil des souvenirs qu’il égrène au rythme de ses chansons comme d’autres feuilletteraient un album photo, Paul met aussi en avant l’influence de l’éducation parentale, empreinte d’humanité et...
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