«Mes petits-enfants me parlent souvent de la fonte des glaciers, de la pénurie alimentaire et de leur militantisme pour améliorer le climat. Je vois bien qu’ils s’impliquent, s’épuisent et souffrent. Mais je ne sais pas que faire pour les aider,» regrette Mireille, 78 ans. Notre psychanalyste lui répond.