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Il n'y a pas d'âge pour le désir, l'amour et une vie sexuelle épanouie.
Episode 6 / 15

La sexualité féminine jamais atteinte par la limite d’âge

Dans un essai rageur et bien documenté, la psychanalyste et psychosociologue Catherine Grangeard déconstruit l’étape décriée de la ménopause. Et explique que la jouissance féminine n’est jamais atteinte par la limite d’âge. Réjouissant.
Jouissance : la sexualité féminine  jamais atteinte par la limite d’âge
La ménopause est une période charnière pour la vie d'une femme. Cependant, elle n'impacte pas les capacités à atteindre l'orgasme. © Kormann

Elle a été la goutte d’eau qui a fait déborder l’indignation de Catherine Grangeard : la déclaration d’un écrivain et chroniqueur français, Yann Moix, à propos des corps « plus extraordinaires » des femmes de plus 50 ans (comprendre ménopausées), qui les mettraient hors des jeux de l’amour et de la sexualité. Ça l’a convaincue qu’il fallait riposter. Dans son cabinet de psychanalyse se succèdent trop de femmes souffrant d’une mésestime d’elles-mêmes au prétexte qu’elles ne seraient plus « canon », et donc capables d’inspirer du désir. Trop de femmes ayant dépassé la soixantaine qui se résignent à l’abstinence sexuelle. A 63 ans, elle est bien placée pour affirmer que la retraite sexuelle n’existe pas. Alors, elle s’est attelée à un essai dont le titre résume son ambition : Il n’y a pas d’âge pour jouir. La psychanalyste y revisite toutes les idées reçues autour de la ménopause qui agit...

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