Quand le hoquet s’installe...
Chacun d’entre nous l’a subi, un jour ou l’autre. Un verre d’eau gazeuse bu trop vite, un repas avalé trop rapidement ou trop épicé, un abus d’alcool, les raisons sont multiples et la punition généralement immédiate. Mais rien de vraiment douloureux. Le hoquet — en gros une contraction involontaire de tous les muscles inspiratoires associée à une fermeture de la glotte — chicane plus qu’autre chose. Bref, rien de tragique.
En soirée, la victime peut même devenir le centre de l’attraction lorsqu’il se mettra à essayer les trucs des uns et des autres pour couper court au phénomène. Et les astuces supposées fonctionner sont innombrables, comme avaler une cuillère à soupe de jus de citron (grimace assurée) ou tirer la langue en inspirant et expirant le plus lentement possible, respirer du poivre (atchoum), se masser la pomme d’Adam avec des glaçons ou encore descendre et grimper les escaliers
à fond.
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