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Santé & Bien-être

Ménopause: retour en grâce des hormones

- ven. 09/05/2014 - 00:00
Entre les partisans des fameuses substances chimiques qui noircissent les effets de cette époque délicate pour la femme et leurs adversaires qui exagèrent les risques de la thérapie de substitution, il se dessine une autre approche: le «traitement à la carte». 
Ménopause: le traitement à la carte
Quand le cerveau ne reçoit plus sa dose d’œstrogènes, il exprime sa «souffrance» notamment par ces fameuses bouffées de chaleur qui chamboulent les nuits et la vie au quotidien.  ©  Monkey Business Images

Entre 48 et 52 ans, les ovaires cessent toute activité. La production hormonale s’interrompt, les règles disparaissent et les vapeurs arrivent. Trois quarts des femmes les ressentent à des degrés divers. Certaines ont un peu plus chaud, mais d’autres, un quart environ, se réveillent en sueur, chemise de nuit et draps trempés. Elles se plaignent d’insomnies et vivent dans la hantise d’avoir un accès de transpiration en public.

Ces bouffées de chaleur, causées par une perturbation du centre qui régule la température du corps, expriment les souffrances ressenties par un organe, en l’occurrence le cerveau, quand il ne reçoit plus sa dose habituelle d’œstrogènes.

Il en est de même des os et du cartilage, des muqueuses, de la peau, des artères. Privés de leur drogue hormonale, ces tissus sensibles perdent de leur vitalité. «Après la ménopause, la peau vieillit plus vite, les cheveux se fragilisent...

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