Aliments: faut-il se méfier des additifs?
Prenez n’importe quel aliment à portée de main et scrutez l’étiquette… Vous y découvrirez la liste des ingrédients et, sans doute parmi eux, des numéros précédés d’un « E ». Par exemple, une boîte de haricots verts contient l’acidifiant « E330 » ou le condiment Maggi le « E631 » (exhausteur de goût). Il s’agit d’additifs. Actuellement, plus de 300 additifs sont admis en Suisse. Mais tous ne sont pas forcément chimiques. Certains d’entre eux, comme la vitamine B2, appelée «riboflavine», ou le lycopène, pigment qu’on retrouve dans les tomates, sont naturellement présents dans notre alimentation. Toutefois, la plupart des additifs sont artificiels et utilisés pour améliorer la conservation ainsi que la composition d’un produit, réduire son oxydation, renforcer son goût, changer sa couleur, entre autres. Regroupés dans quatre catégories distinctes, ils sont, sur les emballages, soit indiqués par leur nom en entier ou traduits par un « E » suivi d’un numéro (lire encadré).
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