Moïra, c’est un prénom. C’est aussi le titre de la pièce de Joëlle Richard qu’on pourra découvrir prochainement à Fribourg. « Dans l’antiquité, ce terme désignait, chez les Grecs, l’attribution d’une partition de vie à chacun dès sa naissance », explique cette auteure et metteuse en scène que rien ne prédestinait d’ailleurs au théâtre. C’est en effet après des études d’allemand et d’anglais qu’elle s’est découvert une passion pour Shakespeare : « C’est le plus grand, c’est intemporel, la langue est d’une richesse extraordinaire, et puis il y a vraiment un souffle dans ses textes. » Ni une ni deux, l’admiratrice du grand William est donc partie, ses licences en poche, suivre des cours à l’Ecole royale d’art dramatique, à Londres.
Quelques années plus tard, cette Fribourgeoise d’adoption se retrouve avec, à son actif, huit pièces écrites, dont trois montées. Et c’est effectivement après un accident de la circulation — « heureusement, je n’ai rien eu...
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