« Mais bon sang, c’est bien sûr … » C’est après avoir participé à un concours organisé par le géant orange sur le thème de Mai 68 et des utopies que Pierre-Yves Borgeaud a été frappé par la foudre ou plutôt l’évidence. Lui, le réalisateur et vidéaste, le fou de jazz, avait oublié dans son projet cet élément capital qui avait accompagné ce souffle de liberté, né dans l’Hexagone avant de déborder les frontières : la musique ! « Je suis passé complètement à côté », dit-il avec un grand sourire. Qu’importe ! Ni une ni deux, le gaillard s’est alors tourné vers le jeune chef de chœur Dominique Tille, rencontré deux ans plus tôt. Un spectacle était né.
Attention, La lutte finale n’a rien à voir avec Mamma Mia ou une quelconque comédie musicale. Pas le genre de la maison. Né en 1963, Pierre-Yves Borgeaud n’a pas vécu Mai 68. Dominique Tille, 37 ans, encore moins. Mais...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter