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Culture

Oui, la fin du monde peut être joyeuse

- jeu. 03/03/2016 - 00:00
Chroniqueur, comédien, auteur, François Morel arrive à faire rire en évoquant le temps qui s’égrène. Fort, très fort.
François Morel
DR

Pour reprendre une expression consacrée, on pourrait résumer François Morel en disant qu’il a plusieurs cordes à son arc. Mais le portrait ne serait pas complet. Talentueux et drôle, bien sûr, mais ce qui frappe d’emblée, lorsque la discussion démarre, c’est son amabilité, pour ne pas dire sa gentillesse ou son humanité. Autant dire que, malgré son titre apocalyptique, le spectacle qu’il présentera prochainement à Monthey sera marqué du sceau d’un humour riche et sensible. Un moment rare de nos jours, avec un François Morel seul sur scène interprétant toute une galerie de personnages.

Pourquoi avoir titré ce spectacle La fin du monde est pour dimanche?

Parce que c’est pour dimanche. Vous pensiez que c’était pour lundi ? Non, sérieusement, c’était la première phrase d’un livre de Michel Audiard où il évoquait la mort de son fils, un dimanche dans une voiture jaune. J’ai trouvé cette citation très jolie et très...

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