A la pétanque, on ne devient jamais vieux
« Pardon, ce n’est pas une plaisanterie, c’est une partie de boules. » Extraite de Fanny, le film intemporel (1932) de Marcel Pagnol, cette réplique donne le ton: la pétanque, c’est du sérieux. Ce n’est pas Marlyse Reymond, présidente du Club lausannois La Pétanque des Marronniers qui dira le contraire : « Nous sommes 40 membres actifs et sympathisants. Nous jouons toute l’année, à raison de deux à trois fois par semaine. Nous participons à des tournois avec d’autres clubs et nous comptons quelques joueurs qui ont leur licence. »
Voilà pour le côté face de ce sport qui sera en démonstration aux Jeux olympiques de Paris, en 2024. Côté pile, cet antique jeu de boules, dont le baptême provençal est situé en 1907 à La Ciotat, s’avère récréatif. Et pas qu’un peu, comme chez Marie-Thé, la patronne d’un petit coin de paradis à Monthey. Dans l’arrière-cour de son Café-Restaurant du Thovex, un établissement familial...
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