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Culture

Quand le chevalier adopte le code du samouraï

- mer. 03/02/2016 - 00:00
DVD: un film de chevalerie qui ne s’embarrasse pas trop d’authenticité, deux bons acteurs et un réalisateur japonais qui revendique ses racines, le tout forme Last knights et ça se laisse suivre d’un œil.
Last Knights
Clive Owen (au centre). © DR

Les amateurs de films d’action et de chevalerie se laisseront avoir. De ce point de vue, Last knights n’a rien de déshonorant. Clive Owen, dans le rôle du guerrier tourmenté par ses démons ainsi que par sa fidélité à son maître, est sombre à souhait. Quant à son Morgan Freeman, le caméléon du cinéma américain, il est égal à lui-même, c’est dire. Avouons-le, là où on se perd un brin, c’est du côté du scénario vu et revu, d’autant plus que le réalisateur d’origine japonaise a emprunté sans vergogne le code du samouraï pour le coller à ses héros. Un mélange des genres pour le moins curieux. Reste que ceux qui ont aimé 47 ronin avec Keanu Reeves y trouveront leur compte.

J.-M.R.

Last Knights, 115’

 

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