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Culture

Paris à deux doigts de tomber

- mar. 20/10/2020 - 00:00
Août 1792. L’Europe des rois veut en finir avec la révolution française. C’est compter sans un jeune lieutenant de gendarmerie, envoyé à Verdun par Danton. Sous la plume de Jean-Christophe Portes, notre héros va toutefois aller de déconvenue en déconvenue dans L’assassin de septembre, un « polar historique » qui se lit d’un trait.
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© DR

Quand on vous dit Verdun, vous pensez immédiatement à la Première Guerre mondiale. Mais bien avant cela, la cité fortifiée avait déjà été au centre du conflit. Durant l’été 1792, face à l’armée prussienne, elle était le dernier rempart avant Paris. C’est là que débarque le lieutenant Victor Dauterive mandaté par Danton (qui avait encore toute sa tête). Il doit persuader les habitants et la garnison de tenir 40 jours, le temps que les renforts français arrivent. Mission impossible hélas.

Fait prisonnier, il réussit à s’enfuir et à revenir dans la capitale où des flots de sang coulent. Les sans-culotte massacrent gaiement avant l’arrivée de l’envahisseur. Mais qui les manipule et qui a volé le trésor qui pourrait stopper l’ennemi? Victor enquête alors que son amie, l’écrivaine Olympe de Gouges, cherche de son côté à trouver l’instigateur d’une tuerie devant une prison.

Voilà en quelques lignes l’intrigue principale du bon...

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