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Culture

Papounet est perdu

- lun. 19/10/2020 - 00:00
Ecrit à quatre mains, un très joli roman sur la rencontre de deux sexagénaires à la maternité, le jour où ils apprennent qu’ils sont grands-pères. Pire, du même petit garçon. De la tendresse, de l’humour, de l’incompréhension parfois et le retour à de vraies valeurs, voilà ce que nous propose Ces petits riens qui font une vie.
Pierre Antilogus, à gauche, et Jean-Louis Festjens
Pierre Antilogus, à gauche, et Jean-Louis Festjens © DR

Au cinéma, on parle de feel-good movie, en gros des films qui vous font du bien. On pourrait ranger sans autre le roman de Pierre Antilogus et Jean-Louis Festjens dans une catégorie similaire, rayon littérature. Ces petits riens qui font une vie vous donnera la pêche, tout simplement parce que c’est un très joli roman sur une initiation pas toujours facile à vivre, celle qui consiste à devenir grand-père pour la première fois. Et là, tout le monde ne réagit pas de la même manière. Pour Jean-Paul qui consacre sa vie au travail, c’est un choc. Et quand il découvre devant la maternité l’autre, à savoir le père de sa belle-fille, c’est encore plus dur. Imaginez, un éditeur artiste, un peu bohème! 

La suite, c’est un torrent de tendresse et d’humour, de fines observations aussi, sur cet apprentissage d’une nouvelle étape de l’existence. Nos compères vont faire des concessions, certes...

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