Mimi Cracra c'est moi !
Agnès Rosenstiehl, l’espièglerie, elle aime ça ! « Bravo, vous êtes arrivée », lance-t-elle dans l’interphone, sous-entendant qu’elle connaît la raison du retard : sa maison tapie derrière un haut mur et protégée des bruits de la rue par un jardin extraordinaire en plein Paris ne se laisse pas facilement débusquer. « Je sais, cet endroit est incroyable. J’y suis née : cette maison a été celle de mes grands-parents avant d’être celle de mes parents, puis de devenir la mienne. »
Tout en discutant, la maîtresse des lieux s’affaire à préparer un café. « Vous avez envie de le boire dans la pièce du bas, face au jardin ou dans mon atelier qui est à l’étage ? » En montant dans l’antre privée d’Agnès Rosenstiehl, une immense pièce qui lui sert à la fois de chambre à coucher et d’espace de travail, on longe des murs portant les traces des générations précédentes : les peintures, les sculptures et les céramiques...
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