On dévore ces cannibales!
Disons-le, ces deux-là volent haut, très haut, bien en-dessus de la mêlée. Boucq au dessin et Charyn au scénario, on se régale d’avance et le plat est effectivement digne de grands chefs. L’action se déroule à New York de nos jours où Azami est devenu policière, body-buildeuse ultra-tatouée et bourrée de stéroïdes. Raison pour laquelle d’ailleurs elle ne peut pas avoir d’enfants et décide de garder le bébé qu’elle trouve abandonné au cours d’une enquête. Mais ce petit d’homme appartient en fait à un gang de lesbiennes dont la cheffe shaman est issue des camps d’internement soviétiques. Entre la Sibérie et New York, la lutte s’annonce sanglante et l’on découvre une véritable cour des miracles dans les bas-fonds de la cité.
Impossible de tout raconter au vu de la richesse du scénario, le dessin est évidemment somptueux et l’on ne peut conclure autrement que par: Encore!
J.-M.R.
New York Cannibals...
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