« Je ne suis pas sur terre pour ne pas être troublé ! »
Il revient de Venise où il a passé une semaine avec sa compagne de bientôt cinquante ans, Martine, illustratrice de livres pour enfants. Et, comme ils ont fait chaque matin le tour du Grand Canal à l’avant d’un vaporetto, Philippe Delerm est rentré très bronzé. Ce qui fait ressortir ses cheveux blancs. Et donne encore plus d’éclat à ses dents qu’il découvre souvent. Tranquille et détendu (il a pris sa retraite de professeur de français depuis quelques années), il se laisse volontiers aller à l’humour et à la dérision. La rencontre a lieu à Paris, chez son éditeur, quelques jours avant que les grandes vacances ne le transforment en un grand-père disponible. Les deux garçons de son fils Vincent Delerm (le chanteur) étant fans de foot, Philippe Delerm s’est entraîné à pratiquer des dribbles pour jouer avec eux. « Un quart d’heure par jour », affirme-t-il en regardant sa montre (dont l’écran... |
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