L’art, cible des activistes pro-climat
Les Pêchers en fleurs de Vincent Van Gogh (Courtauld Gallery, Londres) le 30 juin, La charrette de foin de John Constable (National Gallery, Londres) le 4 juillet, Le printemps de Botticelli (galerie des Offices, Florence) le 22 juillet, la Maloja en hiver de Giovanni Giacometti (MCBA, Lausanne) le 11 septembre, Les Meules de Claude Monet (Musée Barberini de Potsdam), le 24 octobre, La Jeune Fille à la Perle (Musée Mauritshuis de La Haye), le 27 octobre… la liste d’œuvres d’art ciblées par les activistes climatiques n’en finit pas de s’allonger. Depuis, les réactions sont vives, y compris venant de personnalités issues du mouvement pro-climat. On reproche en particulier les attaques visant une œuvre d’art plutôt qu’une infrastructure charbonnière, gazière ou pétrolière.
A chaque fois, peu ou prou, le scénario est invariable, à l’image de ce qui s’est passé le 14 octobre dernier à la National Gallery de Londres (voir illustration...
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