Expositions
Lausanne va enfin dévoiler son pôle muséal. Photo Elysée et le mudac ouvriront leurs portes avec une thématique identique aux Beaux-Arts, déjà sur place: l’imaginaire ferroviaire.
Une fois n’est pas coutume, ce ne sont pas des tableaux mais des photos qui seront les vedettes de l’exposition de la Fondation Pierre Gianadda à Martigny, cet été. Le public est invité à découvrir un véritable trésor: 226 clichés du photographe Henri Cartier-Bresson. Et pas n’importe lesquels!
A Vevey, l’Alimentarium nous propose une exposition aux senteurs futuristes, quand bien même elle est basée sur des concepts du passé. Au final, un menu des plus savoureux.
La Collection de l’Art Brut accueille des personnes atteintes de troubles neurocognitifs en partenariat avec l'Association Alzheimer Vaud. Cette initiative a des vertus d’ordre curatives. Reportage.
Après avoir accueilli les œuvres de Gustave Caillebotte, la Fondation Pierre Gianadda plonge dans l’univers rayonnant et non conventionnel de Jean Dubuffet.
Grâce aux mesures d’assouplissement consenties par le Conseil fédéral, les musées ont pu rouvrir leurs portes le 1er mars dernier. Pour vous, les directeurs et les conservateurs ont choisi une œuvre majeure exposée dans leur institution.
Jeanne Tripier a créé un univers foisonnant, donnant corps aussi bien à des broderies, des peintures, des dessins ainsi qu’à des écrits énigmatiques. Tout cela sous la dictée des esprits.
A 70 ans, il photographie des jeunes gens avec un appareil de 1938 qui lui a servi de sésame : le journaliste vaudois Jean-Claude Péclet expose une série de portraits de jeunes animés de passions et du sens du collectif. Pour générations, il commente six d’entre eux.
Le Chat s’apprête à se pavaner en version sculptures monumentales sur les Champs-Elysées, à Paris. Et son créateur, le Belge Philippe Geluck, s’en réjouit.
A défaut de pouvoir se rendre au Musée, profitez du musée chez vous !
Dans le cadre d’Exploration du monde, la Canadienne Julie Corbeil nous fait découvrir ce qu’elle nomme le cœur vibrant de l’Amérique. Avec trop d’angélisme ?
Danse, « pattes d’eph » et lumière… tout est disco dans le spectacle du chorégraphe Marco Berrettini qui met en scène un marathon de danse dans les années 70-80.
On connaît l’immense peintre, chef de file du fauvisme et ami de Picasso. Mais Matisse délaissait parfois le pinceau pour s’attaquer à la matière brute. Le Kunsthaus Zurich révèle ainsi une ambitieuse exposition consacrée à son travail de sculpteur. Près de 70 œuvres, dont des bronzes, sont présentés au public ainsi que les sources d’inspiration de l’artiste, soit des photographies de nus et des statues africaines. On découvre peu à peu l’évolution de son travail qui tend vers l’abstrait, au fil du temps.
A voir Matisse — Métamorphose, Kunsthaus Zurich, jusqu’au 8 décembre
C’est un film de réhabilitation que nous propose Exploration du monde. Le cinéaste Philippe Soreil tenait à montrer que les hommes du Nord n’étaient pas que des brutes sanguinaires.
Jusqu’au 27 octobre, la Fondation de l’Hermitage, à Lausanne, explorera les liens intimes existant entre l’ombre et les arts à travers sa prochaine exposition.
Ces immenses artistes sont des habitués de la Fondation Pierre Gianadda. Mais jamais, ici comme ailleurs, ils n’avaient été réunis pour une exposition destinée à mettre en lumière et à commenter la résonance possible entre l’œuvre des deux artistes.